« La Tauromachie : la culture la plus ancienne de l'humanité, un rituel de partage à découvrir et à explorer »

Communiqué de l’Observatoire du 28 juillet 2011
« Alors que dans la nuit du 26 juillet un incendie de nature criminelle a été provoqué au domicile d’André Viard, président de l’Observatoire national des cultures taurines, mettant en péril toute sa famille, plus de 48 heures après, la quasi totalité des associations anti-taurines n’a pas jugé utile de condamner cette violence meurtrière, alors que la seule piste suivie par les enquêteurs est celle des extrémistes radicaux de la cause animale.

Incendie criminel au domicile d’ André Viard
L’image, ci-contre, est tirée du site de Animal Liberation Front (ALF), organisation animaliste terroriste tristement célèbre. Attention ! Nous ne suggérons pas, notre information étant, à ce stade, insuffisante, qu’ALF ait à voir avec l’attentat dont André Viard est victime, ni même qu’il ait été perpétré par des animalistes anti-taurins.
Simplement, ALF propose, quasi impunément, par l’intermédiaire de sa filiale Bite Back, une multitude d’exemples de ce type aux détraqués de tous bords.

» Le Combat Juridique de l’Afición du Midi-Toulousain » par Guy Tanguy
Toutes ces notes ont été rédigées scrupuleusement par Guy Tanguy, Président du Club Taurin de Toulouse, membre du Bureau de la Fédération des Sociétés Taurines de France.
L’afición Toulousaine et l’afición Rieumoise se sont montrée exemplaires…

Quelques réflexions sur la tauromachie, sa nature, son histoire par Araceli Guillaume-Alonso
Il y a eu en Ibérie, depuis la nuit des temps, des pratiques tauromachiques très diverses comme l’attestent les documents écrits et iconographiques conservés, ainsi que la tradition orale des contes et des légendes. Sur le sens profond de chacune de ces pratiques ibériques, ou d’autres dont a gardé la trace ailleurs, dans le sud de la France et dans le bassin méditerranéen, jusqu’en Grèce, nous n’avons guère de certitudes.

Deux livres récents célèbrent la culture de la corrida
La feria de Séville par un philosophe ; celle de Nîmes par un journaliste et un dessinateur. Entre science et passion, tragédie et burlesque, trois regards sur la corrida.

Les tauromachies françaises : pensée dualiste et système d’inversion de la corrida par Frédéric Saumade
La vieille polémique relative aux jeux d’arènes met en évidence la difficulté des Occidentaux à concevoir la complexité des choses qui ne sont pas réductibles à l’unité, en l’occurrence l’unité du Bien contre le Mal, au fondement de l’éthique religieuse et de la pensée sociale classique. Dans l’histoire des idées tauromachiques, le premier temps de cette polémique, d’ordre théologique, remonte à la Renaissance. …

Les taureaux de combat en France
Ce qui suit nous a été procuré par Bruno Blohorn, Président de l’Association des Éleveurs Français de Taureaux de Combat.
Il s’agit d’un petit panorama regroupant : l’histoire de l’élevage du taureau brave en France, les caractères zootechniques de l’animal, la présentation de l’association, le rappel des techniques de sélection. Il est montré comment cet élevage protège la biodiversité et s’est engagé dans des démarches de qualité.
Pourquoi j’aime la corrida par François Zumbiehl
N.D.L.R. : François Zumbiehl professeur de littérature classique et docteur en anthropologie, a été conseiller culturel à l'Ambassade de France en Espagne et, plus récemment, directeur adjoint de la Casa de Velázquez à Madrid. Il est actuellement chargé de mission à...
De hautes personnalités écrivent à Frédéric Mitterrand
Quarante personnalités de premier plan, appartenant au monde de la science ou des arts, ont écrit le 25 mai à M. Frédéric Mitterand, Ministre de la Culture, pour manifester leur satisfaction et exprimer leur reconnaissance à la suite de l’inscription de la corrida au patrimoine immatériel français.
À propos de l’économie de la corrida espagnole par Pierre Traimond
Pierre Traimond nous livre ici une brève et dense analyse (résumé de son ouvrage) pour montrer que l’économie de la corrida, encore top souvent engluée dans les pittoresques mœurs picaresque de l’Espagne des siècles passés, est relativement trop faible et trop fragile pour supporter, à elle seule, la pérennité du fait taurin.
La corrida « appartient à une économie de la culture plutôt qu’à celle des loisirs » ou encore, « la raison d’être de la corrida procède d’un phénomène de civilisation qui mérite d’être défendu. »
Il faut lire son livre, trapu mais passionnant, voir références au bas de l’article.